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Située à la limite entre la Rance maritime et la Rance fluviale, la cité médiévale de Dinan dut sa richesse à son port de commerce vers l’Angleterre et les Flandres puis, à partir du 18ème siècle, vers les colonies d’Amérique.

Ses principales industries étaient la fabrication des toiles à voiles et la préparation des cuirs. Dinan était également un entrepôt de marchandises d’importation : sel, résine, goudron, graines de lin, salaisons et denrées coloniales. Elle exportait des céréales, des farines, du cidre, des toiles à voile, des cordages,  des planches, du bois de construction, des cuirs. Le port fluvial de Dinan pouvait recevoir des navires jusqu’à 100 tonnes, son vieux pont était le passage obligé pour rejoindre la ville close, côté sud, par une longue rue très pentue, le Jerzual.

A la fin du 19ème siècle, Dinan s’ouvre au tourisme de masse, l’activité commerciale du port est peu à peu remplacée par celle des vedettes touristiques à moteur. Les vapeurs de la Société de la Côte d’Emeraude remontent depuis Saint-Malo, et les vedettes depuis Dinard

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