Devant la saleté croissante des villes, entre autres le fait d’uriner n’importe où malgré les nombreux arrêtés d’interdiction, des barils d’aisance seront installés à la fin du 18ème siècle à tous les coins de rues.

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Sous le Second Empire, on implante dans les lieux les plus fréquentés, aires publiques, places et parcs, les fameuses « pissotières » en forme de colonnes mauresques. Ces édicules, supports d’affiches publicitaires à l’extérieur, seront entourés quelques décennies plus tard d’un écran en fonte, ou bien remplacés par des maisonnettes maçonnées, à usage mixte.

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Sur les cartes postales anciennes de Rennes, on peut apercevoir les vieilles vespasiennes. Redécouvrons une partie de ce petit patrimoine qu’ont fréquenté nos arrière-grands-pères.