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A Ancenis, l’ancien couvent des sœurs Ursulines est vendu comme bien national à la Révolution. Tour à tour hôpital puis caserne, il abrite le 64e régiment d’infanterie de Ligne à partir de 1880. Les deux tiers du régiment mourront pendant la grande guerre.

 

Il revient à Ancenis jusqu’en 1924 puis ce sont les gendarmes mobiles qui occupent la caserne Rohan. Dans un état pitoyable, menaçant ruine, le vieux couvent est promis aux démolisseurs en 1982 mais un rachat civil et une réhabilitation d’une grande partie des bâtiments en ont fait un centre administratif de la ville, une école, un théâtre et un musée d’art contemporain, l’ensemble entouré de jardins.

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