Au début du 19ème siècle, il y avait encore beaucoup d’anciennes maisons à porche à Dol-de-Bretagne. En 1836, Prosper Mérimée décrit la ville, avec ses rues bordées de nombreux logis avec porches anciens. Mais la seconde moitié du 19ème siècle voit la destruction systématique de ces maisons. Seules quelques rares porches seront épargnés, citons les numéros 18, 27 et 30 de la Grande-Rue. Ailleurs, plusieurs porches ont été englobés dans des façades refaites, ainsi aux numéros10, 12, 14 ou 16 de cette même Grande-Rue.

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La maison dite de la Grande Trottelière, au n°2, résistera jusqu’au début du 20ème siècle avant de disparaître. Les cartes postales anciennes sont là pour nous montrer le commerce Lecharpentier-Lavoué, café, sur la façade duquel il est précisé qu’on y vend à boire et à manger.

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Une tradition voudrait que Victor Hugo se soit arrêté dans cet endroit qui fut autrefois une auberge.